Planites : les planètes tournent autour
du soleil et ne s’arrêtent jamais, les hommes aussi sont en mouvement perpétuellement.
Les migrations, souhaitées ou imposées, confrontent les hommes à de nombreuses
difficultés.
Patricia Apergi nous présente sur scène des danses d’ailleurs et d’antan
avec sa vision contemporaine. On retrouve ici et là quelques touches de danses
africaines, orientales, celtes mais aussi du flamenco.
Cinq
danseurs. Cinq hommes. Comme si les hommes portaient en eux cette symbolique (et
en même temps ce préjugé) du voyage. La chorégraphie est millimétrée. La coordination et la
précision des gestes en attestent. Allers et retours se succèdent. Submergent des
sympathies mais aussi des conflits. Quelques mots grecs, quelques onomatopées. Leur
langage est universel car finalement tout se joue à travers les émotions et l’énergie
renvoyées par les danseurs.
Face à ce plateau, le spectateur en prend plein les yeux. Certaines
images sont magnifiques, comme des flashs. Quant à la musique, elle vient harmonieusement se fondre
dans les gestes. Et vice versa.
Quelques extraits, qui ne remplaceront jamais le spectacle en
direct : https://www.youtube.com/watch?v=jPVzyCg8yo4
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